
L’association a pour but de permettre à des familles migrantes sans toit, de vivre dans de meilleures conditions d’intégration et d’éducation dans une « dignité » retrouvée.
Elle a été reconnue d’intérêt général dès sa création en 2013

L’association a pour but de permettre à des familles migrantes sans toit, de vivre dans de meilleures conditions d’intégration et d’éducation dans une « dignité » retrouvée.
Elle a été reconnue d’intérêt général dès sa création en 2013


Cette journée EGM est mise en place par le Collectif d’associations ligérienne « Pour que personne ne dorme à la rue » (environ 25 associations ou collectifs) dont nous faisons partie.
Une journée pour se rencontrer, faire connaissance avec les autres associations, partager nos expériences et nos difficultés, écouter la parole de migrants …et mettre du lien entre nous pour que nos voix portent un peu plus!

Notre loto a obtenu un franc succès et les bénéfices nous permettrons de poursuivre nos actions avec plus de sérénité. Il a fallu beaucoup d’énergie a l’équipe organisatrice ces derniers mois. Le jour même les bénévoles, parrains, marraines et familles, ont assuré avec entrain le bon déroulement de la journée.Un grand merci à toutes ces personnes et particulièrement aux deux jeunes filles de Génération Inspire pour leur aide efficace.
Ce même week-end l’association Mosaïque a joué sa comédie musicale « Passeport pour la belle vie » pour Un Toit C’est Tout, les Jardins d’Oasis et l’Epicerie Solidaire. Les spectateurs ont été nombreux et ont apprécié le spectacle.




14 Mai : Belle réussite pour cet après midi festif organisé par le collectif « Pour que Personne ne dorme à la rue ». Un public nombreux est venu à la rencontre de seize associations engagées dans le soutien aux personnes réfugiée
NOUS CHOISISSONS L’ACCUEIL (texte manifeste 14 mai 2025)
Continuer la lectureL’ojectif de cette journée est de rendre visible sur la place publique l’action du collectif « Pour que personne ne dorme à la rue », et des différentes associations qui agissent auprès des personnes réfugiées, celà pour toujours mieux résister et accueillir.

« Je sais le désordre de ceux qui ont dû se défaire de leur prénom, de leur langue, de leur pays, de leur maison, de leurs parents de leurs désirs. Les survivants, les exilés ne sont pas des héros. Ce sont des épuisés qui font « comme si » (Lola Lafond)